"Supposition" sur les: Vibrations, énergie,mental et corps astral

Supposons que je crois avoir compris le sens des vibrations, de l'énergie, des méandres du mental et du "contenant" du corps astral.
Supposons que tout est vibration
Supposons que l' énergie est un grand principe de l'Univers
Supposons que le tout aspire à se mettre en mouvement
Supposons que tout mouvement est de l'énergie
Supposons qu'il existe plusieurs énergies, ou plutôt qu'il n'en existe qu'une qui prenne plusieurs formes différentes qui s'expriment elles même différemment (les formes)
Supposons que nous baignons dans un océan d'énergie.

Supposons pour cette image que nous soyons un verre (forme) d'eau (énergie en nous) dans cet océan (énergie universelle), l'eau serait sans cesse renouvelée, nous nous sentirions pleinement heureux.
Supposons que notre forme ne puisse pas contenir toute l'énergie du monde, que nous somme limités, parce que nous somme un contenant à l'image d'un verre à moiter rempli de gravier (le mental), dans lequel on ajoute de l'eau (l' énergie).
Supposons que ce gravier est nos croyance erronées, nos aprioris, nos idées fixes.........
L'eau ne circulerait plus ou mal, pire elle stagne, le flot de la vie n'aurait de cesse de tenter de balayer notre gravier mental auquel nous tenons tant, nous privant de l'énergie pure, vivifiante et sereine.

Supposons que notre forme mental soit nos pensées, que notre forme astrale soit nos émotions.
Supposons que j'en élève la vibration (ça bouge)
Supposons que mes formes mentale et astrale résistent et souffrent de vibrer plus haut parce que changer de fréquence (vitesse) ne se fait pas sans douleur au moins sans sensations.

Ils y a plusieurs outils pour faire monter la conscience, des doux (+lents) et des plus violents (+rapides) sûres et naturels
Supposons que les "doux" (passifs) soient: Le reiki, le magnétisme, la sophrologie, la méditation..............
"Les violents"(actifs): Le tantra (en rituel), la psychologie transpersonnelle/les états modifiés de conscience, le gestalt, le rebirth, la respiration holotropique, la régression........
Les premiers permettent de faire vibrer votre subconscient plus haut et d'en déloger les "merdes" mémorisées on "retire" d'abord ce qui vibre bas pour ensuite le "détruire".
Les second on laisse tout en place et on fait tout "grimper" d'un coup pour s'en débarrasser (des "merdes").
Tout deux sont dans un premier temps arbitraires et s'apprennent pour se passer d'aide, mais tous deux doivent être entrepris par la personne elle même.

Supposons que pour se libérer de l'esclavage spirituel qui est le sien, nous devrions:
*Accepter l'idée qu'il puisse y avoir un problème quelconque en nous (rude pour l'ego)
*Comprendre ou avoir déjà compris que l'homme est déjà parfait en l'état mais qu'il doit retirer de son mental tout ce qui lui cache encore sa perfection
*Observer puis définir mentalement les causes spirituelles des perturbations émotionnelles. En faisant cela, la fréquence des problèmes astraux s'élève et ce qui était l'émotion d'une cause inconsciente, devient une prise de conscience intellectuelle permettant de trouver des solutions.
*Agir au lieu de se contenter de réagir et remplacer le schéma mental exhumé par son pôle opposé (c'est à dire installer un programme conscient qui prétend l'inverse du schéma)
*Tester en live et dans la vie de tous les jours, la valeur réelle du nouveau programme en se fiant à la qualité des sentiments qu'il provoque, puis le remplacer périodiquement par des programmes nouveaux et jugés supérieur. ( évoluer)
*Si on en est capable, virer toutes les programmations mentales, ce qui fait disparaître du même coup toutes les émotions merdiques, puis ne les remplacer par aucun autre programme conscient, même positif et lumineux (lol) et demeurer "vierge d'idées et de buts" afin de pouvoir laisser la vie s'écouler en nous et à travers nous et nous mener vers notre destination "divine".
*Prendre conscience que nous ne sommes pas nos pensées ni nos émotions qui en résultent, mais cette Conscience d'être et d'exister

Supposons que tant que l'on croit être l'esprit, sous prétexte que l'on est "fait" d'esprit, alors on "bouge" au même rythme que lui. Mais.....
Supposons que si l' on réalise que nous sommes en fait "la conscience de l'esprit" (et non l'esprit) alors on devient ce que l'on a toujours été en Vérité
Supposons que les gens qui ont du mal à évoluer, abritent des formes mentales qui stagnent et qui ne produisent donc plus d'énergie.
Supposons que privés d'énergie, ces personnes là deviennent des "vampires" énergétiques et inventent constamment des astuces psychologiques pour s' accaparer l'attention d'autrui et leur piquer ainsi cette énergie qui leur manque tant.
Enfin je ne fait que supposer

J'essaie de suivre ...
Si je suppose que je suis (aussi ) la conscience, cela veut dire je suis ce que je perçois quand j'arrive ( laborieusement, quelques secondes ) à vider, à empêcher les pensées et les sentiments de venir ? Je Suis à ce moment-là ?

Voyager est une chose.
Là ce qui m'intéresse, c'est EXPULSER
Faut pas trop réfléchir, faut agir! FAIRE!

Oui c'est très bien,
Ici je voudrai parler des outils ACTIFS, les "violents", les plus rapides.
Je crois que nous pouvons toujours douter des PASSIFS, les "doux", les plus lents.
Je parle des traumas "inconscients"
Supposez par exemple, que vous ayez été violé dans votre enfance, et que vous avez occulté ce trauma, je pense que rendre conscient ce "refoulement" doit être bien plus long et pas nécessairement réparateur par la méditation (de votre choix) ou autre techniques douces (reiki.....)
Les effets sont plus subtils, (je parle par experience seulement)
Supposez maintenant, que vous fassiez remonter ce trauma directement dans votre conscience par un outil puissant et dynamique, c'est à dire que vous revoyez exactement la scène (par un rebirth) Que vous la reviviez, que vous compreniez en ce moment et exactement la source de vos problématiques.
Supposons que vous ayez (que NOUS ayons) plein d'autres merdes en nous, celles qui nous rendent malades
Que préférez vous? Les affronter activement ou les étouffer, les "panser", au risque qu'elles réapparaissent au moindre déséquilibre?

Didier a écrit:

Le monde est illusion, nos maux sont illusoires, nos moyens humains aussi. C'est radical et définitif.

Ah bah, je ne suis pas trop d'accord ...
D'abord, les moyens humains qui permettent de moins souffrir, il y en a qui m'ont permis réellement d'être mieux avec moi-même, plus heureuse : pour moi, ils existent du coup ...
Si je te mets un bon coup de pied dans le tibia, je te paries que tu sentiras la réalité de la chose. Elle existe, non ? Dans une certaine mesure, on peut faire fi de certaines souffrances ou plaisirs si on le veut, mais ils existent dans la réalité, celle qui est perceptible à nos sens et nos pensées. Bon, je sens que t'es pas d'accord ...
Si tu manies ensuite la pelle et la pioche pendant toute une journée, je ne pense pas que tes courbatures, ta fatigue (et ton bleu au tibia !) ne sont qu'illusions : pour moi, elles font parties de la réalité. Une réalité bien plus complexe que je le pensai mais un aspect important de la réalité.

Ou alors, on est pas d'accord sur la définition de la réalité.

"connais-toi toi-même ... ". Pour moi, moi-même, c'est cette part que je découvre (faite d'énergie, de force ...) mais le reste aussi (sentiments, pensées, émotions, ressentis ...l' apparence aussi (même si là, ça m'énerve ...) Autrement, qu'est-ce que ton expérience, tes sourires,tes regards, tes joies et tes tristesses, si ce n'est toi-même ... Ton regard qui peut être bienveillant, souriant ne serait qu'illusions ? Même ces pensées abstraites que tu partages et qui constituent un raisonnement, c'est toi-même ... fruit d'un certain parcours, de certaines rencontres bien perceptibles dans la réalité ...
Enfin, bon, j'imagine qu'on du te tenir déjà ces arguments...
Je sens, si, si ... Didier Viaud, que je ne t'ai pas convaincu ... (je suis d'humeur taquine ce matin, ne m'en veux pas de la légèreté de ce que j'écris ...)

Je pense, mais j'ai peut-être tort, que nier des souffrances très grandes ne reviennent pas à les abolir ou faire qu'elles n'existent plus. En tout cas, j'ai essayé mais ça n'a pas marché ...J'ai pas réussi. Cela m'a permis néanmoins d'avancer un bon moment, me dire que tout n'est qu'illusions, tout ce qui m'entoure et que je voulais plus voir ...
Peut-être que toi, tu as trouvé un équilibre avec cela ... Peut-être aussi que tu n'as pas connu de choses trop dures (ou qui t'ont fait beaucoup souffrir, ce que je te le souhaite ... avoir eu une enfance ou une vie légère ...) ...
Pour moi, je pouvais peut-être ne plus les penser, ces traumas, , se dire que ce n'est qu'illusions, ... "oublier" mais, en ce qui me concerne, elles sous-tendent, structurent malgré tout, dans une certaine mesure, mes réponses au monde ... et qu'est-ce que c'est pénible quand on s'en rend compte ...(petit bonhomme qui sourit) ... Se focaliser dessus n'aide pas mais heureusement qu'il y a des aides pour les dépasser. Et là, je rejoins Myraa.
Quand aux chemins pour faire avec ... ou se débarrasser de traumas, bah il y en a plusieurs et ce doit être selon les personnes, à mon avis.
Discuter, c'est bien. Mais faut faire, ça c'est vrai. Franchir le pas ... mais faut pas se casser la figure, hein ? Quand on tient en équilibre précaire, moi, en tout cas , j'ai tenu en équilibre précaire, il aurait pas fallu que je me plante ... C'est quoi, les chemins ... et là, c'est bien d'en parler ...
Tout ce qui est "violent", j'ai jamais testé. Entendu parlé mais sans plus ...J'imagine que cela doit être radical pour certaines personnes, d'après ce que tu dis Myraa ... Ma grande peur serait de revivre quelque chose et de ne plus m'en débarrasser ensuite ... Je dis peur parce que ce je sais que ce serait pas comme ça .. cela partirait de moi, et je serait débarrassée ...
Mais c 'est intéressant de savoir que ça existe ... qu'on peut essayer !
En tout cas, pour moi, je suis heureuse qu'il y ait pleins de chemins pour avancer, des "méthodes" humaines tangibles pour moi.

Très bonne recette Didier
D'ailleurs je me régale à vous lire.
Alors aujourd'hui j'ai envie de parler différemment.
Nous avons tous eu des problèmes, je ne pense pas qu'il y ai sur terre un être favorisé.
Supposons autrement: prenons le cas d'une personne malade, une personne qui porterait une maladie auto-immune.
Déjà quel est élément déclencheur de sa maladie? Le mental diront certains.
Cette personne fait un chemin thérapeutique classique, médicaments .........
Rien n'y fait, la maladie évolue.
Cette personne s'essaye à une autre "Thérapie" peut importe laquelle, (prière, chamanisme, reiki, rebouteux........)
Et là il se passe quelque chose, la maladie régresse.
Que c'est 'il passé???
Prenez l'exemple en son inverse, envisageons que la médecine traditionnelle fonctionne
Que c'est 'il passé?
Ne somme nous que chimie?
Pouvons nous modifier nos prédispositions génétiques?
Le mental, la foi, peuvent 'il tout transcender?

Ce qui serait bien, c'est que nous témoignons de nos expériences (maladies/thérapies)
Je ne dit pas que nous réussirons à dévoiler le grand mystère des guérisons, mais nous pourrions nous en faire une idée.
Bisous à vous

qu'est-ce qu'une maladie auto-immmune ?

( Moi aussi, je me régale à vous lire. Merci Didier pour ton humour et ta volonté de discuter. )

Ca y est, j'ai cherché sur Wikipédia ...

J'ai pas beaucoup de billes dans ce domaine. On est surement un peu "chimie" mais aussi un peu autre autre chose. Et l'on peut influencer dans une certaine mesure dans certains domaines ... C'est un vrai sujet intéressant mais je n'y connais rien de rien.

T'inquiète pas lalou, j'en apprend tous les jours.
Pour les maladie auto-immunes, c'est juste parce que ma maman a la particularité de se les "déclencher" (hé oui je pense ce que je veux) et que j'en porte 3, ce qui ne me ravie pas tu t'en doute, mais elles ne m'inquiètent pas plus que cela. (enfin)
Sat nam!

Entièrement d'accord ...
C'est une chose que de dire, savoir des choses intellectuellement, être ok et mettre en pratique, vivre en conformité avec ce que l'on pense ... C'est comme si de le penser, ce n'est qu'une partie du chemin.