j'ai hésité à mettre cette réflexion de longtemps en science ou ici en écologie.
Pour résumer voici une phrase de ma Grand-mère issue de la sagesse paysanne (au combien précieuse):
"là où est la chèvre, elle broute"
En fait quelles que soient nos idées pour un mieux être, il nous faut nous adapter à l'existant, prendre allègrement le train de la vie et vivre tous les progrès qui viennent.
Même s'ils semblent si inutiles au fond, au regard de ce qu'on vit tous en rêve quand on en est conscient:
vous imaginez, plus besoin de dictionnaire pour se comprendre,
pas besoin d'avion pour voler
et même pas besoin de manger non plus.....
bref,
la Nature est bonne telle qu'elle est, sans la transformer.
La transformer nous fait nous reposer sur les outils (certes géniaux) que l'on crée, mais peu à peu, on perd l'instinct, la sensibilité de notre nature profonde.
Sans nos outils, on aiguiserait notre âme et deviendrions plus sensibles, comme les animaux:
les chats se connectent entre eux sans mot de passe ni télephone mobile,
les vaches n'ont pas besoin d'un dictionnaire pour savoir quelle herbe est bonne à manger.
Mais est-il mauvais pour autant de se reposer sur notre intellect plutôt que sur notre sensibilité ?
Finalement, tout comme les animaux, nous rêvons et sortons de nos enveloppes charnelles presque chaque nuit nous reconnecter à cette nature si sensible et subtile, alors.....
Tout est bon à essayer, à connaître, à vivre tel quel
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]l'herbe est même souvent meilleure ailleur que chez nous, dit-on